« On fait du cinéma avec des images qu’on a reçues et non avec la réalité qu’on a vue », dit Dany Laferrière. Bien des cinéastes issus de pays étrangers ont découvert le Québec à travers les classiques des Jutra, Perrault, Brault, Carle ou Forcier. Le croisement de leurs regards et de leurs réalités respectives est source de tension dramatique et, par essence, cinématographique. L’étranger devient source d’échanges, de complicités, de réflexion et de création. C’est un signe de maturité.
« On fait du cinéma avec des images qu’on a reçues et non avec la réalité qu’on a vue », dit Dany Laferrière. Bien des cinéastes issus de pays étrangers ont découvert le Québec à travers les classiques des Jutra, Perrault, Brault, Carle ou Forcier. Le croisement de leurs regards et de leurs réalités respectives est source de tension dramatique et, par essence, cinématographique. L’étranger devient source d’échanges, de complicités, de réflexion et de création. C’est un signe de maturité.