Élevés à l’école de Guy et Yvette, célèbres personnages des manuels scolaires d’autrefois, nos premiers cinéastes ont le sentiment d’avoir été trompés par un système d’éducation qui a figé hommes et femmes dans des rôles stéréotypés, tout en les conditionnant au mythe du grand amour. À l’heure du tout-est-permis, où en sommes-nous? Une nouvelle génération de réalisateurs a récemment pris d’assaut nos écrans. Entre le romantisme des uns et l’omniprésente pulsion sexuelle des autres – les regards de femmes sont rares –, notre cinéma semble peiner à dire l’amour et l’émotion.
Élevés à l’école de Guy et Yvette, célèbres personnages des manuels scolaires d’autrefois, nos premiers cinéastes ont le sentiment d’avoir été trompés par un système d’éducation qui a figé hommes et femmes dans des rôles stéréotypés, tout en les conditionnant au mythe du grand amour. À l’heure du tout-est-permis, où en sommes-nous? Une nouvelle génération de réalisateurs a récemment pris d’assaut nos écrans. Entre le romantisme des uns et l’omniprésente pulsion sexuelle des autres – les regards de femmes sont rares –, notre cinéma semble peiner à dire l’amour et l’émotion.