Ils n’existent que sous forme de vêtements. Ils errent dans les rues, sans corps et sans visage.
Une chemise et un pantalon sortent d’une armoire dans la lumière dorée du matin et s’unissent pour définir un corps. Dans Les gens dans l’armoire, les personnages ne sont formés que de vêtements. Soulignant l’absurdité de leur quotidien, leurs silhouettes déambulent dans les rues sans corps ni visage.