Prenant pour point de départ le tableau intitulé L’île des morts, du peintre symboliste allemand Arnold Böcklin, Norman McLaren organise un rêve surréaliste d’où émane une profonde angoisse. Le premier film canadien a avoir été projeté au Festival de Cannes.
Prenant pour point de départ le tableau intitulé L’île des morts, du peintre symboliste allemand Arnold Böcklin, Norman McLaren organise un rêve surréaliste d’où émane une profonde angoisse. Le premier film canadien a avoir été projeté au Festival de Cannes.