Montréal, septembre 1984. À cinq jours d'intervalle, les Montréalais accueillent au Stade olympique Jean-Paul II et Michael Jackson. Quelle belle occasion pour tenter de cerner l'impact des médias sur les foules! Maniant l'ironie jusqu'à la causticité, le film donne la parole à ceux et celles que marginalise le discours officiel de l'Église: homosexuels, lesbiennes, femmes avortées ou violentées. Ni documentaire, ni fiction, ni reportage, Passiflora est avant tout du cinéma qui tache, qui laisse des traces et des images, qui mêle avec bonheur la réflexion, les techniques d'animation, le jeu, l'humour et la chanson.
Montréal, septembre 1984. À cinq jours d'intervalle, les Montréalais accueillent au Stade olympique Jean-Paul II et Michael Jackson. Quelle belle occasion pour tenter de cerner l'impact des médias sur les foules! Maniant l'ironie jusqu'à la causticité, le film donne la parole à ceux et celles que marginalise le discours officiel de l'Église: homosexuels, lesbiennes, femmes avortées ou violentées. Ni documentaire, ni fiction, ni reportage, Passiflora est avant tout du cinéma qui tache, qui laisse des traces et des images, qui mêle avec bonheur la réflexion, les techniques d'animation, le jeu, l'humour et la chanson.