Dans Que le soleil jamais ne voie briller tes larmes, l’imagination d’Edith Almadi transcende le deuil et nous révèle un univers artistique vivant porté par l’amour.
Brève méditation sur l’amour, le deuil et l’imagination, Que le soleil jamais ne voie briller tes larmes est né d’une collaboration entre Edith Almadi, mère, aînée et narratrice du film, et les cinéastes Natalie Baird et Toby Gillies. Sous la forme d’un documentaire d’animation dessiné à la main, cette œuvre poétique célèbre la vie et le pouvoir transformateur de l’art, qui nous élève et nous transcende. Alliant des animations colorées aux paroles simples et pourtant magiques d’Edith, le film se penche sur le lien indéfectible qui nous unit à nos êtres chers disparus. Avec ses dessins, Edith rend hommage à son fils et à son existence continue au sein du cosmos. Leurs couleurs, leurs formes et les métaphores qu’ils évoquent nous rappellent le pouvoir intemporel que l’amour, la gravité et la grâce exercent sur nous, jusqu’à notre dernier souffle.