In this short film, Inuk artist Asinnajaq plunges us into a sublime imaginary universe—14 minutes of luminescent, archive-inspired cinema that recast the present, past and future of her people in a radiant new light. Diving into the NFB’s vast archive, she parses the complicated cinematic representation of the Inuit, harvesting fleeting truths and fortuitous accidents from a range of sources—newsreels, propaganda, ethnographic docs, and work by Indigenous filmmakers. Embedding historic footage into original animation, she conjures up a vision of hope and beautiful possibility.
In this short film, Inuk artist Asinnajaq plunges us into a sublime imaginary universe—14 minutes of luminescent, archive-inspired cinema that recast the present, past and future of her people in a radiant new light.
Diving into the NFB’s vast archive, she parses the complicated cinematic representation of the Inuit, harvesting fleeting truths and fortuitous accidents from a range of sources—newsreels, propaganda, ethnographic docs, and work by Indigenous filmmakers. Embedding historic footage into original animation, she conjures up a vision of hope and beautiful possibility.
Ce court métrage visuellement poétique relie le passé et le présent des Inuits et pourrait inspirer une réflexion créative sur le thème d’un bel avenir. Quelles sortes d’émotions évoque le contraste entre le réalisme des images d’archives et la fluidité des images abstraites? En quoi le film peut-il constituer une vision d’espoir pour les Inuits et la société canadienne dans son ensemble? Quels sont les nombreux thèmes d’apprentissage à approfondir dans le film (par exemple, les attelages de chiens de traîneau, les rations alimentaires, la récolte d’aliments traditionnels et les histoires d’aurores boréales)? Choisissez une scène et plongez plus profondément dans le contexte du présent et du passé des Inuits. Pourquoi est-il impératif de créer des visions et des initiatives qui inspirent l’espoir?