Tout comme les récits interactifs de la série Générations 150, les œuvres de cette sélection abordent les notions d’héritage et de patrimoine, un siècle et demi après la création de la Confédération canadienne. Pour voir les récits interactifs de Générations 150, cliquer ici. To watch this playlist in English, click here. Les films de cette sélection comprennent : Mon village au Nunavik Au Canada Femmes debout Cartes postales du Canada Hélicoptère Canada Une famille pour Maria Variations sur un thème familier 19 jours Forces tranquilles Un héritage, une tradition, une marine Entre-deux
Tout comme les récits interactifs de la série Générations 150, les œuvres de cette sélection abordent les notions d’héritage et de patrimoine, un siècle et demi après la création de la Confédération canadienne.
Pour voir les récits interactifs de Générations 150, cliquer ici.
To watch this playlist in English, click here.
Les films de cette sélection comprennent :
Mon village au Nunavik
Au Canada
Femmes debout
Cartes postales du Canada
Hélicoptère Canada
Une famille pour Maria
Variations sur un thème familier
19 jours
Forces tranquilles
Un héritage, une tradition, une marine
Entre-deux
Film bilingue de 20 minutes qui présente les histoires et expériences personnelles de différents immigrants au Canada de partout autour du monde. Les impressions personnelles et les réflexions partagées dans le film touchent les thèmes du voyage, de l’arrivée et de l’appartenance. Au Canada est à la fois animé, drôle et pousse à la réflexion et présentera le coté personnel de l’expérience de l’immigration canadienne.
Dans ce court métrage documentaire, trois femmes francophones originaires du Sénégal, du Mexique et de la Belgique posent un regard sur leur expérience d’immigration à Vancouver, où elles élèvent seules leurs enfants. Avec force et résilience, ces femmes prennent le pari de reconstruire leur vie et d’offrir « cet autre possible » à leur enfant, tout en cherchant à faire leur place dans la société canadienne.
Voyage spectaculaire à travers le temps et l'espace Cartes postales du Canada invite à un survol époustouflant des splendeurs de ce pays. C'est aussi l'histoire d'un immense désert de glace et d'eau qui cachait des richesses impressionnantes et s'est transformé en vastes étendues sauvages. Une longue évolution qui a commencé bien avant l'arrivée de l'Homme, qui a continué avec lui, et qui se poursuit encore. Cartes postales du Canada met en relief les merveilles de la vie sauvage, la marque que nous, Canadiens, avons laissée sur ce territoire et l'ingéniosité avec laquelle nous avons su tirer profit d'obstacles imposants. Un film qu'on revoit sans se lasser à la fois source de renseignements précieuse et plaisir renouvelé pour l'oeil et l'oreille. Tourné en 35 mm, Cartes postales du Canada étonne par ses images saisissantes, sa photographie aérienne et réactualise en quelque sorte le film Hélicoptère Canada, très prisé lors de sa sortie en 1966. Telles des cartes postales, ces instantanés du Canada nous laissent entrevoir des horizons enchanteurs, mais mieux encore : ils nous y conduisent.
Le film a été préparé pour les milliers de visiteurs attendus au Canada en 1967 et montre la beauté du pays et les divertissements qu'il offre. L'atmosphère du film est humoristique et la musique, entraînante.
Ce film d'animation traitant d'adoption à l'étranger insiste sur les problèmes d'adaptation de l'enfant. Il permet aux 5 à 8 ans de prendre connaissance des difficultés qu'éprouvent les enfants abandonnés des pays en voie de développement. Dans Une famille pour Maria, l'amour triomphe de l'insécurité d'une petite fille qui quitte l'Amérique latine pour se joindre à une famille nord-américaine.
Ce long métrage documentaire nous plonge dans le quotidien de sept familles d'aujourd'hui : du couple de lesbiennes aux parents sourds en passant par l'autochtone engagée; de la famille acadienne tricotée serrée à la mère monoparentale victime d'abus de toutes sortes; du prêtre étonnant qui s'entoure d'exclus à la joyeuse «tribu» mixte. Ce film démontre que peu importe sa composition, la famille demeure l'amarre fondamentale de l'être humain.
Ce court métrage documentaire suit plusieurs familles de réfugiés pendant les 19 premiers jours de leur aventure en sol canadien, alors qu’elles tentent de trouver leurs repères sur un terrain inconnu qui devient désormais leur patrie. Situé dans le paisible quartier Bridgeland de Calgary, le centre de réinstallation Margaret Chisholm offre un nouveau départ aux réfugiés parrainés par le gouvernement qui arrivent en ville. Durant la période de 19 jours établie par le gouvernement fédéral, on procède à une première évaluation des réfugiés et on leur vient en aide en les accueillant dès l’aéroport, puis en leur offrant divers services d’orientation, notamment en ce qui touche l’obtention de documents officiels et le soutien psychologique.
19 jours montre l’aspect humain du processus de réinstallation des réfugiés. Posant un regard unique sur la crise mondiale des migrants et sur une étape particulière de l’arrivée en terre d’asile, le documentaire révèle sans détour les réalités auxquelles se heurtent les exilés dans leur difficile parcours vers l’intégration.
Ce court métrage documentaire de la cinéaste Sophie Dupuis présente un point de vue poétique et contemplatif du quotidien des marins de la frégate HMSC Ottawa, en mission dans l'océan Pacifique entre la Colombie-Britannique et la Californie. Pour ses débuts en documentaire, la cinéaste propose un essai impressionniste, composé de tableaux contrastés, qui nous plonge dans un maelstrom de sensations, tout en nous offrant un regard atypique sur un milieu méconnu.
Documentaire relatant l'histoire de la Marine royale du Canada depuis sa fondation en 1910 jusqu'à 1960. Composé de films d’archives canadiens et britanniques, et de métrages allemands, le film témoigne de la croissance et de l’expansion de ce corps des Forces armées canadiennes.
Lorsque Bonnie Ammaaq était petite, ses parents ont fait leurs bagages, l’ont emballée avec son frère sur un long traîneau couvert de fourrures, qu’on appelle qamutik, et ont quitté la communauté gouvernementale d’Igloolik pour vivre de la terre, comme tant de générations d’Inuit l’avaient fait avant eux. Pendant onze ans, leur maison n’était pas la petite cabane du « camp éloigné », mais tout le territoire vaste, sauvage et spectaculaire qui s’étendait au-delà du pas de la porte.
Entre-deux est une élégie silencieuse dédiée à un mode de vie qui n’existe désormais que dans les souvenirs de Bonnie, de son frère et de ses parents, ainsi que dans ceux d’autres encore vivants qui en ont fait l’expérience. Pour eux, la grande toundra sauvage n’était pas juste un endroit où vivre, c’était « quelque part », alors que la communauté d’Igloolik – leur demeure depuis ce temps –, avec ses motoneiges assourdissantes, ses plats paysages enneigés et la cohue du quotidien, c’est proprement « nulle part ».