Elle-même art du mouvement, la danse a toujours trouvé sa place au cinéma. Ces œuvres de l’ONF captent la technique et la mécanique du mouvement dansé pour en souligner l’élégance et la finesse. To watch this playlist in English, click here.
Elle-même art du mouvement, la danse a toujours trouvé sa place au cinéma. Ces œuvres de l’ONF captent la technique et la mécanique du mouvement dansé pour en souligner l’élégance et la finesse.
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Film expérimental qui met en scène Margaret Mercier et Vincent Warren, deux étoiles des Grands Ballets canadiens. Les danseurs vêtus de blanc évoluent dans un décor peint en noir, et l'ensemble, harmonieux, traduit toute la créativité de McLaren.
Ce film nous fait assister à une leçon de flamenco donnée par Susana et Antonio Robledo, professeurs venus d'Espagne. Entrecoupé d'anecdotes sur les origines du flamenco et sur la vie et la carrière de Susana et Antonio Robledo, Flamenco à 5 h 15, nous permet non seulement d'apprécier la maîtrise des danseurs de l'École nationale de ballet, mais nous offre surtout l'occasion de voir à l'oeuvre le couple Robledo, pour qui le flamenco est devenu un art de vivre.
Pour le chorégraphe Édouard Lock, le mouvement traduit nos intérêts et nos désirs. Ce court métrage documentaire nous montre le célèbre fondateur de La La La Human Steps travaillant avec des danseurs dans son espace studio. Au moyen d’angles de caméra étonnants et d’images tournées au ralenti, la cinéaste saisit ce style hautement énergique et percutant qui caractérise l’artiste Édouard Lock.
Court métrage documentaire sur Margie Gillis. Véritable incarnation de la danse moderne, la danseuse et chorégraphe s’avance dans la lumière, lève les bras et fait tournoyer son extraordinaire crinière autour d’elle. Celle dont la remarquable carrière s’étend sur 4 décennies est un modèle de compassion et de créativité qui excelle à inventer la beauté dans un monde où il en manque toujours. Des caméras ultra-rapides captent la joie subtile et sauvage de l’Isadora Duncan canadienne.
Produit par l’Office national du film du Canada, en collaboration avec le Centre National des Arts et la Fondation des Prix du Gouverneur Général pour les arts et spectacles, à l'occasion de la remise des Prix du Gouverneur Général pour les Arts du spectacle 2011.
Empruntant la fluidité d'une chorégraphie, ce court métrage documentaire nous présente Sylvie Mazerolle, une jeune femme pour qui danser est un besoin essentiel. La sensibilité du personnage crève l'écran. À travers sa démarche, le film dresse aussi un état des lieux de la danse en Acadie. Actuellement établie à Vancouver, la jeune danseuse éprouve la nostalgie de son Acadie natale et cherche un projet qui l'en rapprocherait. Mais où qu'elle soit, elle continue de vivre sa passion, car son pays est la danse.
Éblouissante démonstration de la technique de l'adagio du pas de deux. Ce court métrage expérimental tourné au ralenti souligne la maîtrise des danseurs, la précision de leurs gestes, l'équilibre de chaque pirouette, arabesque ou jeté. Document de travail unique pour les élèves des cours de danse classique, ce film révélera aux autres spectateurs une dimension inconnue du ballet. L'Adagio d'Albinoni forme la trame sonore sur laquelle évoluent David et Anna Marie Holmes, danseurs canadiens de réputation internationale.
Court métrage expérimental mélangeant des techniques d’animation et de prise de vue réelle. Un film où chaque image n'est jamais le résultat d'un seul cliché, mais de plusieurs. Des trucages optiques font de cette réalisation exclusivement esthétique, une intéressante expérience audiovisuelle; car la musique électronique originale contribue largement, elle aussi, à donner à la danse une toute nouvelle dimension qui ne saurait se retrouver ni sur scène ni en coulisses. D'après une chorégraphie de Martine Époque. Film sans paroles.
Ce court métrage d’animation est le 59e film du cinéaste Norman McLaren. Narcisse, tiré de la mythologie grecque, aborde un thème universel : l'étape perpétuellement ratée de l'ouverture à l'autre, jusqu'au repliement voluptueux sur soi-même, où l'humain se retrouve piégé. Résumé du génie technique de ce cinéaste parmi les plus prestigieux du monde, fruit de procédés d'impression optique, c'est aussi une œuvre de pure esthétique, où des corps en fleur se frôlent dans l’éternelle quête de l'amour.
L’univers du chorégraphe José Navas rencontre celui du cinéaste Philippe Baylaucq pour créer une aventure spectaculaire, dans la grande tradition d’innovation de l’Office national du film du Canada. Utilisant pour la première fois la thermographie 3D, ORA. met en scène six danseurs aux corps incandescents, partis à la découverte d’un monde qu’ils marquent de leur propre chaleur. ORA. donne à voir des images qui ne ressemblent à aucune autre. Philippe Baylaucq et propose une allégorie dansée, qui entraîne le spectateur au cœur de l’espace mouvant dans lequel évoluent les danseurs.
Attention: Bien que le film ait été tourné en 3D, il est seulement disponible en 2D sur le site de l’ONF.