L’ONF s’engage à respecter votre vie privée

Nous utilisons des témoins de navigation afin d’assurer le bon fonctionnement du site, ainsi qu’à des fins publicitaires.

Si vous ne souhaitez pas que vos informations soient utilisées de cette manière, vous pouvez modifier les paramètres de votre navigateur avant de poursuivre votre visite.

En savoir plus
PASSER
Ma liste
Votre requête n'a pas été complétée
Ce film est déjà dans votre liste

La Journée du cinéma canadien

Une sélection de Ariel Smith (nēhiyaw)
17 films
Dernière chance

À l’occasion de la neuvième Journée du cinéma canadien (JCC), j’ai eu plaisir à préparer, avec l’équipe de REEL CANADA, cette sélection de films autochtones créés pour l’ONF. Cette année, la JCC met en vedette les films des cinéastes inuits, métis et des Premières Nations du Canada. Ce programme comprend plusieurs titres de l’ONF que vous trouverez également sur la liste officielle des films de la JCC de REEL CANADA, de même qu’une sélection d’autres films de l’ONF réalisés par des cinéastes autochtones vivant au Québec, et un film franco-manitobain. Ces œuvres et les cinéastes qui les ont créées ont …

Prochain : Guerriers oubliés
Nous sommes désolés, ce contenu n’est pas offert dans votre région.
Votre location se termine le
Vous avez déjà acheté ce film.
Téléchargez-le à partir de Mes achats.
Non offert
La Journée du cinéma canadien

À l’occasion de la neuvième Journée du cinéma canadien (JCC), j’ai eu plaisir à préparer, avec l’équipe de REEL CANADA, cette sélection de films autochtones créés pour l’ONF.


Cette année, la JCC met en vedette les films des cinéastes inuits, métis et des Premières Nations du Canada. Ce programme comprend plusieurs titres de l’ONF que vous trouverez également sur la liste officielle des films de la JCC de REEL CANADA, de même qu’une sélection d’autres films de l’ONF réalisés par des cinéastes autochtones vivant au Québec, et un film franco-manitobain. Ces œuvres et les cinéastes qui les ont créées ont ouvert la voie à la génération actuelle de cinéastes autochtones. Ce sont de grands films à découvrir. La pierre de touche de la sélection est à mon avis Pluie de pierres à Whiskey Trench, d’Alanis Obomsawin, un regard sans compromis sur un jour sombre de notre histoire collective. Club Native , l’incontournable documentaire qu’a signé la cinéaste en 2008, figure également au programme. Ces titres démontrent également toute l’importance que revêt l’autonomie narrative pour les artistes multimédias autochtones. Lorsque les histoires autochtones sont racontées par des cinéastes autochtones, il en résulte une expression culturelle authentique et autodéterminée, et des histoires significatives qui captivent une diversité de publics. Bon visionnement !

À la fois cinéaste et vidéaste primée, écrivaine et travailleuse culturelle, Ariel Smith, d’origines nēhiyaw et juive, crée des œuvres d’art médiatique à titre indépendant depuis 2001. Une grande partie de son travail a été présentée dans des festivals et des galeries au Canada et à l’étranger. Parallèlement à sa propre pratique artistique, Ariel a exercé diverses fonctions : directrice technique du centre d’art médiatique SAW Video à Ottawa, directrice de la National Indigenous Media Arts Coalition, directrice générale de l’imagineNATIVE Film + Media Arts Festival, et programmatrice pour plusieurs festivals et organisations artistiques. Ariel est actuellement directrice artistique et directrice générale de Native Women in the Arts, et directrice du programme de cinéma autochtone de REEL CANADA.

Sélection

  • Naissance d'une famille
    Naissance d'une famille
    Tasha Hubbard 2017 1 h 19 min

    Quand une réunion de famille n’en est pas tout à fait une…

  • Guerriers oubliés
    Guerriers oubliés
    Loretta Todd 2006 51 min

    Narré par le comédien Gordon Tootoosis, le film jette un regard sur le sort réservé aux anciens combattant autochtones de la Deuxième Guerre mondiale après le conflit.

  • Kanehsatake, 270 ans de résistance
    Kanehsatake, 270 ans de résistance
    Alanis Obomsawin 1993 1 h 59 min

    En juillet 1990, un litige autour d'un terrain de golf qui serait construit sur des terres kanien'kéhaka (mohawks) à Oka ouvrait la voie à une confrontation historique qui ferait les manchettes internationales et s'imprimerait dans la conscience collective du pays. La réalisatrice Alanis Obomsawin – tantôt avec une petit équipe, tantôt seule – a passé 78 jours derrière les barricades kanien'kéhaka pour filmer l'affrontement armé entre les manifestants, la Sûreté du Québec et l'armée canadienne. Sorti en 1993, ce documentaire phare a été vu dans le monde entier, remportant plus d'une douzaine de prix internationaux et entrant dans l'histoire du Festival international du film de Toronto, où il est devenu le premier documentaire à remporter le prix du meilleur long métrage canadien. Jesse Wente, directeur du Bureau des productions audiovisuelles autochtones, en parle comme d'un « moment charnière dans l'histoire du cinéma des Premiers Peuples ».

  • nîpawistamâsowin: Nous nous lèverons
    nîpawistamâsowin: Nous nous lèverons
    Tasha Hubbard 2019 1 h 38 min

    Une famille en quête de justice pour les générations futures

  • Le chemin de la guérison
    Le chemin de la guérison
    Alanis Obomsawin 2017 1 h 36 min

    Vision d’espoir pour les enfants autochtones

  • Droit devant
    Droit devant
    Marie Clements 2017 1 h 41 min

    À l’origine du nationalisme autochtone

  • Sans adresse
    Sans adresse
    Alanis Obomsawin 1988 55 min

    Loin de chez eux, coupés de leur famille et de leurs amis, les Autochtones sans-abri de Montréal sont au cœur de ce documentaire. Comme le racontent les protagonistes de Sans adresse, le rêve d’une vie meilleure dans la grande ville peut devenir une dure réalité. Cherchant souvent à fuir une conjoncture issue du colonialisme et des effets de l’assimilation, les membres des Premières Nations et les Inuits du film exposent ouvertement l’histoire de leur vie et la voie qu’ils ont suivie pour aboutir à Montréal. Alanis Obomsawin propose ici un portrait sincère et désolant de l’itinérance endémique tout en donnant la parole à ceux qui sont si souvent négligés ou rendus invisibles dans les rues de toutes les villes canadiennes.

  • Tshishe Mishtikuashisht - Le petit grand européen : Johan Beetz
    Tshishe Mishtikuashisht - Le petit grand européen : Johan Beetz
    Joséphine Bacon 1997 51 min

    Documentaire de la réalisatrice innue Joséphine Bacon sur Johan Beetz, un aristocrate belge du tournant du siècle, qui décida un jour de débarquer sur la Côte-Nord du Québec pour mieux oublier son chagrin à la suite du décès de sa fiancée. Véritable légende chez les Innus, qui rebaptisèrent le village Baie-Johan-Beetz à sa mémoire, l'Européen à la moustache retroussée tomba amoureux de la région et y demeura tout le reste de sa vie. Petit de taille, Johan Beetz devint au fil du temps un grand homme aux yeux des Innus grâce à l'amitié profonde qu'il vouait à ce peuple des grands espaces.

  • Le Français aux cheveux rouges
    Le Français aux cheveux rouges
    Monika Ille 1997 26 min

    De sa France natale, Jean-Luc Battuz entreprend un jour une démarche intérieure qui le mènera jusqu'au coeur de l'Amérique du Nord. À 28 ans, il fait aujourd'hui partie de la famille de Lonnie et Theresa Selam, qui l'ont adopté selon les traditions de la nation yakima, dans l'État de Washington.

  • Kanata : l'héritage des enfants d'Aataentsic
    Kanata : l'héritage des enfants d'Aataentsic
    René Sioui Labelle 1998 52 min

    Documentaire d'une densité poétique et personnelle sur la nation huronne-wendat. René Siouï Labelle retrace l'itinéraire de ses ancêtres. Il arpente le territoire, recueille des images. Le passé méconnu émerge de ces rencontres avec des femmes et des hommes inspirés. La plupart sont originaires de Wendake, situé à huit kilomètres au nord-ouest de la ville de Stadaconé, jadis décrite par le chef Donnacona comme le grand village, ou « Kanata », lors d'une rencontre avec Jacques Cartier. Y seront évoqués le rapport entre l'être humain et son environnement, la reconnaissance et la transmission du patrimoine, la défense des droits des Amérindiens, et une spiritualité unique fondée sur la diplomatie et le respect.

  • Mon village au Nunavik
    Mon village au Nunavik
    Bobby Kenuajuak 1999 46 min

    Ce documentaire propose un regard sans nostalgie, tourné vers le monde, d'un jeune Inuk amoureux de son village au Nunavik. Bobby Kenuajuak a 23 ans. Il habite le village de Puvirnituq, situé sur les rives de la baie d'Hudson au Nord du Québec. Le temps de trois saisons, Bobby dirige sa caméra sur ce qui fonde l'âme de son peuple: son espace, son humour, son histoire. Il refuse d'abdiquer la culture des anciens mais apprécie les avantages des incursions des gens du Sud dans le Nord. De Puvirnituq à Akulivik en passant par Maniitouk et Qikisitarvik, les bernaches font se retourner les têtes, la mer est gorgée de poissons, la toundra s'étend à perte de vue.

  • Pluie de pierres à Whiskey Trench
    Pluie de pierres à Whiskey Trench
    Alanis Obomsawin 2000 1 h 45 min

    Les histoires de résistance, de courage et de persévérance sont mises à nu dans cet examen d’une bien triste page de l’histoire du Canada. Au plus fort des tensions qui règnent à Oka en 1990, les femmes, les enfants et les aînés kanien’kehá:ka (mohawks) fuient Kahnawake, craignant pour leur sécurité. Une fois qu’ils ont dépassé le cordon de l’armée canadienne qui encercle leur village, une foule de manifestants non autochtones en furie leur lance des pierres. Cet étalage de haine et de violence viscérales – rarement vu si ostensiblement au Canada – ébranle la nation et révèle les graves dangers qui pèsent sur les Kanien’kehá:ka dans leur lutte pour défendre un lieu sacré.

  • Distances
    Distances
    Diane Obomsawin 2002 8 min

    Comment réagir lorsqu'un nouveau confrère de travail s'asseoit à côté de vous et vous lance de l'encre au visage, hurle au téléphone et écoute de la musique énervante?

  • Si le temps le permet
    Si le temps le permet
    Elisapie Isaac 2003 27 min

    Documentaire personnel de l'artiste Élisapie Isaac. En pleine immensité boréale, au bord de la mer Arctique, un village : Kangirsujuaq, au Nunavik. Ici, traditions et modernité se croisent quotidiennement. Les rires des enfants habitent joyeusement les rues, les jeunes carburent à la culture « du Sud », alors que les vieux tentent encore de se faire à leur étrange sédentarité. Dans cette toundra à couper le souffle, la jeune cinéaste originaire de Salluit, maintenant installée à Montréal, décide de plonger au cœur de ses origines.

  • Waban-Aki : peuple du soleil levant
    Waban-Aki : peuple du soleil levant
    Alanis Obomsawin 2006 1 h 44 min

    Long métrage documentaire réalisé par Alanis Obomsawin, qui retourne à son village natal d’Odanak. En récoltant des témoignages d’anciens et en discutant avec des acteurs importants de la communauté, la réalisatrice dresse un portrait de son peuple, reflétant les luttes menées par les différentes nations autochtones qui habitent le territoire. Travail de mémoire et d’espoir.

  • Club Native
    Club Native
    Tracey Deer 2008 1 h 18 min

    À la réserve mohawk de Kahnawake, située en banlieue de Montréal, au Canada, deux règles tacites sont profondément inculquées à tous les membres de la communauté : ne pas épouser une personne de race blanche et ne pas avoir d'enfant avec une personne de race blanche. Les conséquences possibles de la transgression de ces règles sont très claires - perte d'appartenance à la bande pour le parent et son enfant - et extrêmement dramatiques pour ceux et celles qui les subissent. Enfreindre ces règles, c'est aussi risquer de se faire accoler l'étiquette de traître à la nation mohawk pour avoir dilué la «pureté» de la lignée.

  • 360 degrés
    360 degrés
    Caroline Monnet 2008 18 min

    Sébastien Aubin vit dans un loft à Winnipeg et occupe un emploi de graphiste. C'est aussi un Cri francophone de la nation d'Opaskwayak, au Manitoba. Parallèlement à sa vie professionnelle, il poursuit une quête spirituelle et identitaire. Son désir de transcender le concret l'a amené à apprendre la médecine traditionnelle autochtone.