L’ONF s’engage à respecter votre vie privée

Nous utilisons des témoins de navigation afin d’assurer le bon fonctionnement du site, ainsi qu’à des fins publicitaires.

Si vous ne souhaitez pas que vos informations soient utilisées de cette manière, vous pouvez modifier les paramètres de votre navigateur avant de poursuivre votre visite.

En savoir plus
PASSER Accessibilité

Art contemporain (14)

  • 3e page après le soleil
    3e page après le soleil
    Theodore Ushev 2014 5 min
    Annonçant la fin du papier, ce court métrage d'animation expérimental aborde sur un mode abstrait plusieurs grandes questions, de la dématérialisation numérique au recyclage. Pour créer ce tableau en mouvement, Theodore Ushev s’est attaqué au catalogue d’un festival de films d’animation, enflammant les pages du livre à grands coups de pinceaux.
  • Artiste à Montréal
    Artiste à Montréal
    Jean Palardy 1954 29 min
    Ce court métrage documentaire nous fait connaître les adeptes du mouvement automatiste, une forme d’art abstrait créée à Montréal par Paul-Émile Borduas. Les Automatistes expliquent la nature de ce mouvement artistique d’avant-garde au narrateur Bruce Ruddick lorsque celui-ci passe un moment dans leur atelier, visite le peintre Paterson Ewen chez lui et se joint aux habitués de l’Échouerie, lieu de rendez-vous des artistes. Robert Hubbard, conservateur en chef du Musée des beaux-arts du Canada, s’exprime sur l’art non figuratif en général et l’automatisme en particulier.
  • Barbeau, libre comme l'art
    Barbeau, libre comme l'art
    Manon Barbeau 2000 49 min
    Documentaire sur le peintre et sculpteur Marcel Barbeau, l'un des plus irréductibles signataires de Refus global. Pionnier d'un art multiforme et pluridisciplinaire, ce passionné de danse et de musique contemporaines n'a cessé d'accumuler les audaces. En témoigne une œuvre majeure qui aura tardé à recevoir la reconnaissance qu'elle mérite. Mais voici que l'artiste obtient un atelier de la Ville de Paris et qu'un musée lui consacre une rétrospective. C'est pour nous l'occasion de suivre un Marcel Barbeau revigoré, d'admirer ses œuvres aux éclatantes taches de couleur ou de l'observer au travail. Autant d'éléments assemblés par la réalisatrice des Enfants de Refus global pour brosser ce portrait riche et chaleureux d'un artiste indomptable qui est aussi son père.
  • Blanc de mémoire
    Blanc de mémoire
    Jacques Giraldeau 1995 1 h 39 min
    Ce long métrage documentaire débute avec une carte postale en provenance de Vienne. Celle-ci déclenche une vaste opération visant à retrouver un mystérieux personnage: le peintre Évariste Quesnel. Dans une enquête qui recueille les propos de critiques d'art, de penseurs, de philosophes et d'artistes représentatifs s'esquisse un passionnant tableau qui nous permet de suivre, à la trace, les grandes étapes de l'histoire de l'art moderne au Québec.
  • Kwa'nu'te' artistes micmacs et malécites
    Kwa'nu'te' artistes micmacs et malécites
    Catherine Anne Martin  et  Kimberlee McTaggart 1992 41 min
    Kwa'nu'te est un chant de paix qui invoque chez certains autochtones le pouvoir de la création, une façon de faire revivre les esprits et de leur rendre hommage en tentant d'apporter, grâce à eux, un peu d'apaisement dans un monde de plus en plus tourmenté. Les huit artistes micmacs et malécites du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse dépeints dans ce film partagent tous à divers degrés cette conscience spirituelle.
  • M.C. Escher : l'air et l'eau 1
    M.C. Escher : l'air et l'eau 1
    Gayle Thomas 1998 3 min
    Ce court métrage d'animation captivant fusionne les techniques d'animation classiques et par ordinateur pour explorer l'univers visuel du célèbre artiste néerlandais Maurits Cornelis Escher. Sur une trame sonore enivrante, ce film décompose, de façon amusante, l'illusion d'optique présente dans l'une des gravures les plus célèbres de l'artiste, L'air et l'eau I. Film sans paroles.
  • Moi, je fais de l'art comme Emily Carr
    Moi, je fais de l'art comme Emily Carr
    Jane Churchill 2005 10 min
    Portrait documentaire d'Emily Carr, l'une des artistes canadiennes les plus réputées et les plus aimées. Peintre, écrivaine et esprit libre, elle fut profondément influencée par les forêts côtières de la Colombie-Britannique et par l'art et la culture autochtones de la côte du Nord-Ouest. Dans Moi, je fais de l'art comme Emily Carr, les enfants explorent l'univers inusité de l'artiste et les sources d'inspiration de ses paysages envoûtants.Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
  • Moi, je fais de l'art comme Andrew Qappik
    Moi, je fais de l'art comme Andrew Qappik
    Jane Churchill 2005 11 min
    Série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels. Andrew Qappik est un graveur inuit de renommée mondiale vivant à Pangnirtung, au Nunavut. D'abord inspiré par les images des bandes dessinées qu'il lisait quand il était enfant, Andrew puise aujourd'hui ses sujets dans les histoires, les traditions et les événements quotidiens de son univers.

    Dans Moi, je fais de l'art comme Andrew Qappik, il fascine les élèves en créant sous leurs yeux une gravure en relief en utilisant une pierre à savon comme support. Puis, c'est au tour des enfants. Explorant l'imagerie symbolique d'Andrew, ils créent dans la mousse de polystyrène une gravure en relief représentant leur autoportrait.
  • Moi, je fais de l'art comme Ron Noganosh
    Moi, je fais de l'art comme Ron Noganosh
    Jane Churchill 2005 15 min
    Ron Noganosh est un sculpteur et un artiste-installateur de grande réputation, qui transforme des objets du quotidien - enjoliveurs rouillés, pièces d'ordinateur, plumes - en objets d'art aussi amusants et ingénieux qu'évocateurs.

    S'inspirant des sculptures de Ron créées à partir d'objets trouvés, les élèves découvrent comment transformer des rebuts en objets d'art. Des thèmes sur l'identité personnelle et culturelle se dégagent alors qu'ils développent leurs habiletés et leur confiance en eux, tout en découvrant un monde de possibilités créatrices.

    Placé sous le signe du respect de l'environnement et de l'identité culturelle, Moi, je fais de l'art comme Ron Noganosh propose aux enfants une nouvelle façon de créer des objets d'art et d'exprimer avec force leur point de vue sur le monde.

    Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
  • Moi, je fais de l'art comme Marcelle Ferron
    Moi, je fais de l'art comme Marcelle Ferron
    Jane Churchill 2005 10 min
    Portrait documentaire de Marcelle Ferron, l'une des figures dominantes de l'art contemporain au Québec et au Canada. On y apprend qu'enfant, la maladie l'a obligée à effectuer de fréquents séjours dans une chambre d'hôpital triste et sombre, ce qui a fait naître chez elle une passion pour la lumière et la couleur. Dans Moi, je fais de l'art comme Marcelle Ferron, les élèves sont exposés à de l'art abstrait contemporain et découvrent l'univers lumineux de Ferron. Inspirés, ils créent leurs propres oeuvres, jouant avec la texture et la transparence de la cellophane et de la peinture. Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, lequel jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
  • Moi, je fais de l'art comme Kai Chan
    Moi, je fais de l'art comme Kai Chan
    Jane Churchill 2005 11 min
    Le sculpteur Kai Chan nous met au défi de voir la beauté dans des choses ordinaires. Artiste en arts visuels de grande renommée, Chan a l'incroyable capacité de transformer les matières les plus banales - des fragments d'arbres ou des sacs à provision en plastique - en de magnifiques oeuvres d'une extrême délicatesse.

    Dans Moi, je fais de l'art comme Kai Chan, il partage sa philosophie artistique de l'économie et de la répétition avec de jeunes artistes qui créent d'extraordinaires structures en 3D d'une grande complexité, en utilisant des matières simples et en appliquant des techniques de base.

    À la fois ludique et puissant, Moi, je fais de l'art comme Kai Chan démythifie le processus créatif et nous incite à nous arrêter pour prendre le temps de regarder autrement le monde qui nous entoure.

    Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
  • Norval Morrisseau : un paradoxe
    Norval Morrisseau : un paradoxe
    Nous sommes désolés, ce contenu n’est pas offert dans votre région.
    Henning Jacobsen  et  Duke Redbird 1975 28 min
    Dans sa maison ou en pleine nature, le peintre autochtone Norval Morrisseau transmet par son art vigoureux les mythes et légendes du peuple ojibway. Ici, l'artiste se raconte, là, il est interviewé, ailleurs il explique ses toiles ... Morrisseau nous est livré tout entier. L'âme, l'homme, l'artiste, l'oeuvre, tout chez lui conserve un caractère unique, fait d'originalité, de liberté et d'amour. Par ce film, le spectateur apprendra à connaître Morrisseau et le riche héritage qu'il cristallise dans ses toiles.
  • L'ombre fragile des choses
    L'ombre fragile des choses
    Jacques Giraldeau 2007 1 h 24 min
    Invitation au voyage, ce long métrage trace un pont entre jadis et désormais à partir de souvenirs ciselés. Film personnel de Jacques Giraldeau, cette œuvre se déploie en une mosaïque de vestiges et d'images captés au fil des ans, au fil d'une vie. On y retrouve Évariste Quesnel, personnage énigmatique que l'on suit de Cuba à l'Île-aux-Grues, sans pouvoir le saisir, laissant telle une empreinte, l'endroit où il n'est plus. En sillonnant les fragments d'hier et d'aujourd'hui laissés pour la mémoire, le cinéaste inscrit l'art comme archive de la réalité. Où se vit, en quelque sorte, une fin de l'effritement du temps.
  • Tower Bawher
    Tower Bawher
    Theodore Ushev 2005 3 min
    Ce court métrage d'animation se présente comme une course effrénée à travers le constructivisme russe. Sur une musique exaltée de Georgy Sviridov, le cinéaste Theodore Ushev valorise la ligne, le plan et les rythmes dynamiques tout en rejetant les volumes et les masses statiques. Une animation sans paroles empreint néanmoins d'une ironie féroce sur la cohabitation de l'art et des idéologies.