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Histoire du cinéma (27)

  • Anniversaire
    Anniversaire
    1963 19 min
    Mary Pickford inaugure la galerie des héroïnes du muet. Bien des vedettes du septième art ont défilé sur nos écrans depuis les exploits cinématographiques de Georges Méliès dans son Voyage à la lune que le public de Winnipeg applaudit dès 1904. En 1907, Montréal ouvre le cinéma le plus luxueux d'Amérique: le Ouimetoscope. En 1920, la star à la mode s'appelle Marie Prévost. Avec le cinéma parlant, d'autres actrices et acteurs canadiens s'illustrent: Raymond Massey, Jack Carson, Yvonne de Carlo, Alexis Smith, Norma Shearer. Deanna Durbin connaît une gloire foudroyante en jouant en 1937 dans le célèbre film Qu'elle était verte ma vallée. Après des temps plus difficiles, le cinéma vit maintenant un regain de vitalité et les techniques nouvelles annoncent un avenir encore plus prometteur.
  • Autoportrait : partie 4
    Autoportrait : partie 4
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    Guy Glover 1961 29 min
    Ce film est une véritable anthologie du film canadien, une sorte de documentaire des documentaires, témoins toujours vivants de l'histoire canadienne des dernières années. C'est l'histoire de vingt et un ans de production cinématographique à l'Office national du film du Canada, soit de 1939 à 1961.
  • Cinéma québécois : l'étranger
    Cinéma québécois : l'étranger
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    Jean Roy  et  Georges Privet 2008 44 min
    « On fait du cinéma avec des images qu’on a reçues et non avec la réalité qu’on a vue », dit Dany Laferrière. Bien des cinéastes issus de pays étrangers ont découvert le Québec à travers les classiques des Jutra, Perrault, Brault, Carle ou Forcier. Le croisement de leurs regards et de leurs réalités respectives est source de tension dramatique et, par essence, cinématographique. L’étranger devient source d’échanges, de complicités, de réflexion et de création. C’est un signe de maturité.
  • Cinéma et réalité
    Cinéma et réalité
    Georges Dufaux  et  Clément Perron 1967 58 min
    Dans ce long métrage documentaire réalisé par Georges Dufaux et Clément Perron, des géants du cinéma italien tels que Rosselini, De Sica, Fellini et Zavattini évoquent l’importance du cinéma en Italie pendant la Seconde Guerre mondiale et ses grands moments de révoltes sociales. Ce film donne la parole aux créateurs du néo-réalisme italien.
  • Cinéma québécois : l'identité
    Cinéma québécois : l'identité
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    Yvonne Defour  et  Georges Privet 2008 44 min
    Au début des années 60, le Québec passe à la vitesse de l’éclair de la ruralité canadienne-française à une société urbaine et moderne qui se définira bientôt comme québécoise. Aujourd’hui, les cinéastes dans la trentaine et la quarantaine ont du mal à définir leur génération. « On est passé d’un cinéma politique au nihilisme et à l’individualisme, résume Denis Villeneuve. Mais ce qui m’inspire au Québec, c’est le rapport de pouvoir entre hommes et femmes. Le Québec est une forme de laboratoire, un univers qui avance, qu’on peut observer ici mais pas ailleurs. » Ainsi, le Québec serait peut-être à se forger une identité bien distincte, à l’avant-garde des évolutions sociales dans le monde.
  • Cinéma québécois : l'évolution des valeurs
    Cinéma québécois : l'évolution des valeurs
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    Jean Roy  et  Georges Privet 2008 44 min
    La naissance de notre cinéma concorde avec les débuts de la Révolution tranquille. Hasard? Que non! Nos cinéastes participent pleinement à toutes les remises en question de l’époque. Documentaires et fictions témoignent avec force des bouleversements d’une société canadienne-française qui évolue à la vitesse de l’éclair... au risque de jeter parfois le bébé avec l’eau du bain. 
  • Cinéma québécois : l'âge de la performance
    Cinéma québécois : l'âge de la performance
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    Jean-Pierre Maher  et  Georges Privet 2008 44 min
    Reconnu depuis ses débuts comme une forme d’expression essentiellement culturelle et identitaire, notre cinéma a vécu ces dernières années un changement de cap majeur en passant à l’âge de la performance commerciale. Le pouvoir est donc passé aux mains des gros distributeurs qui, à coups de campagnes de promotion agressives et coûteuses, ont réussi à faire la conquête d’écrans monopolisés depuis toujours par les Américains. Bravo! Mais il y a un prix à payer pour cette réussite. C’est celui de l’uniformisation.
  • Cinéma québécois : les relations amoureuses
    Cinéma québécois : les relations amoureuses
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    Jean Roy  et  Georges Privet 2008 44 min
    Élevés à l’école de Guy et Yvette, célèbres personnages des manuels scolaires d’autrefois, nos premiers cinéastes ont le sentiment d’avoir été trompés par un système d’éducation qui a figé hommes et femmes dans des rôles stéréotypés, tout en les conditionnant au mythe du grand amour. À l’heure du tout-est-permis, où en sommes-nous? Une nouvelle génération de réalisateurs a récemment pris d’assaut nos écrans. Entre le romantisme des uns et l’omniprésente pulsion sexuelle des autres – les regards de femmes sont rares –, notre cinéma semble peiner à dire l’amour et l’émotion.
  • Cinéma québécois : l'ivresse des débuts
    Cinéma québécois : l'ivresse des débuts
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    Yvonne Defour  et  Georges Privet 2008 44 min

    L'ivresse des débuts raconte non sans humour l'émergence, au cours des années 50 et 60, d'un cinéma québécois inventif, audacieux et libre, porté par la vision d'une équipe de jeunes cinéastes et producteurs francophones qui osent rêver un cinéma nouveau, libéré de l'emprise de la littérature. Cette approche collective de la création permettra aussi l'éclosion d'un nouveau cinéma de fiction, léger, souvent improvisé qui nous vaudra des chefs-d'œuvre tels À tout prendre de Claude Jutra et Le chat dans le sac de Gilles Groulx dont le personnage principal se présente ainsi : « Je suis canadien-français donc je me cherche. » Un cinéma au Je qui rejoint le Nous et qui se verra acclamé à travers le monde, ce dont témoignent ici François Truffaut et Roman Polanski au début des années 60.

  • Cinéma québécois : le désir
    Cinéma québécois : le désir
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    Bernard Lafrenière  et  Georges Privet 2008 44 min

    Au Québec, pudibonderie et hypocrisie ont longtemps plombé la vie, imposées par un clergé oppressif. Ainsi, entre 1913 et 1967, les officiers du Bureau de la censure sévissent, refusant la projection de plus de 6000 films venus de France et d’ailleurs. La révolution sociale des années 60 va faire tomber tous les tabous. Avec Valérie, Denis Héroux ose en 1968 « le premier film érotique », où il fait « exploiter ses ressources naturelles » à Danielle Ouimet.

  • Cinéma québécois : la politique
    Cinéma québécois : la politique
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    Jean Roy  et  Georges Privet 2008 44 min

    Nos cinéastes montent au front politique dès la fin des années 50. Affirmation culturelle, indépendance nationale, contestations des jeunes, lutte des classes : caméra au poing, on filme l'histoire en marche, on capte en direct l'extraordinaire ébullition qui secoue le Québec durant deux décennies. Après l'euphorie créée par le premier référendum, c'est la désillusion. L'enthousiasme des cinéastes pour la politique s'étiole quand il ne disparaît pas totalement. Sommes-nous passés de la politique au politique?

  • Cinéma québécois : la télévision
    Cinéma québécois : la télévision
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    Pascal L'Heureux  et  Georges Privet 2008 44 min
    À son arrivée en 1952, la télévision a un impact majeur. « Tout à coup, on a vu sur l’écran des gens qui étaient bien des Canadiens français, dont le langage était le nôtre », dit Claude Jutra. Quelle relation la télévision et le cinéma entretiennent-ils dans leur « mariage maudit depuis toujours », selon Denys Arcand?
  • Cinéma québécois : la famille
    Cinéma québécois : la famille
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    Jean-Pierre Maher  et  Georges Privet 2008 44 min
    Ah! La famille! Sujet de discussion sans fin dans nos maisons, puits d’inspiration sans fond pour nos cinéastes! Les créateurs s’inspirant souvent de ce qu’ils connaissent le mieux, la veine autobiographique s’éclate. Tous les tons sont permis. Nostalgie, ironie, révolte, règlement de comptes : la famille mange sa claque!
  • Cinéma québécois : l'humour
    Cinéma québécois : l'humour
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    Jean-Pierre Maher  et  Georges Privet 2008 44 min
    C’est au cours des années 70 que la comédie québécoise a réussi à se tailler une place sur le grand écran, à une époque où le public fréquentait peu son cinéma national. Ponctué d’extraits de films, de gags, de fous rires et de répliques mémorables, cet épisode  convie le spectateur à découvrir les mécanismes du rire... tout en se payant une pinte de bon sang!
  • Cinéma québécois : le territoire
    Cinéma québécois : le territoire
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    Bernard Lafrenière  et  Georges Privet 2008 44 min

    Le documentaire s’est révélé un extraordinaire outil pour fixer non seulement l’état des lieux physiques à une certaine époque mais aussi leur géographie humaine, deux dimensions interreliées du pays. Rural ou urbain, le territoire se métamorphose rapidement, trop souvent au rythme des intérêts des acteurs économiques et politiques en place.

  • Cinéma québécois : Hollywood PQ
    Cinéma québécois : Hollywood PQ
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    Yvonne Defour  et  Georges Privet 2008 44 min
    Film d’action ou d’épouvante, science-fiction, thriller, comédie romantique, les films de genre conquièrent les écrans québécois, portés aussi par le désir de  plusieurs réalisateurs et producteurs de se mesurer aux façons de faire hollywoodiennes et l’occasion qui leur est offerte de le faire.
  • Cinéma vérité : le moment décisif
    Cinéma vérité : le moment décisif
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    Peter Wintonick 1999 1 h 42 min
    Crisis, Lonely Boy, Chronique d'un été. Ces films vous sont peut-être inconnus, mais leur influence s'exerce partout chaque jour, tant au journal télévisé que dans les vidéoclips, ou sur Internet. Née au tournant des années 50 et 60, la révolution du cinéma vérité (ou cinéma direct) fut lancée par une bande de cinéastes passionnés, exaspérés par les documentaires guindés qu'on présentait alors. Leur manière de travailler et leur désir inébranlable de filmer le réel comme ils le voyaient ont bouleversé non seulement le style documentaire mais tout le champ cinématographique. Ce long métrage présente de nombreux extraits des classiques du cinéma vérité et relate, pour la première fois, les péripéties d'une révolution qui a transformé pour toujours notre manière de faire du cinéma. Cinéma vérité : le moment décisif est signé par Peter Wintonick, qui a aussi réalisé Manufacturing Consent : Noam Chomsky and the Media, documentaire acclamé partout dans le monde; il est produit par Éric Michel dont le film, 50 ans, réalisé par Gilles Carle a remporté une Palme d'or à Cannes, et par Adam Symansky, gagnant d'un Oscarmd à Hollywood.
  • Le direct avant la lettre
    Le direct avant la lettre
    Denys Desjardins 2005 50 min
    D'où vient le cinéma direct? Quels en sont les précurseurs et les oeuvres avant-gardistes? Grâce à l'essor des techniques et à l'esprit aventurier de cinéastes pionniers parmi lesquels Michel Brault occupe une place centrale, une nouvelle façon de faire du cinéma naît à la charnière des années 1950 et 1960. Le film de Denys Desjardins retrace avec pertinence l'histoire d'un mouvement collectif qui a bouleversé les méthodes de production et de tournage dans un Québec en pleine affirmation nationale. Porté par un profond désir de se rapprocher des gens, le cinéma direct s'invente alors au jour le jour en toute liberté. Recueillant les témoignages des Marcel Carrière, Jean-Claude Labrecque, Denys Arcand, Fernand Dansereau et autres, ce document essentiel explore une page marquante dans l'évolution de notre cinématographie.
  • Fantasmagorie
    Fantasmagorie
    Rupert Glover  et  Michel Patenaude 1976 57 min
    Ce long métrage documentaire raconte les 30 premières années de cinéma d'animation à l'ONF, débutant sous le chapeautage et l'inspiration créative du légendaire Norman McLaren. Le génie de l'animation y explique comment il forme la première équipe d'animation de l'Office nationale du film. Et le film montre les premiers coups de génie des pionniers techniques de l’institution.
  • La fille du cratère
    La fille du cratère
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    Nadine Beaudet  et  Danic Champoux 2019 1 h 15 min
    Femme territoire, Yolande Simard Perrault se voit comme le fruit des bouleversements telluriques qui ont frappé la région de Charlevoix, au Québec, voilà des millions d’années. Solide comme le bouclier canadien, elle est la fille du cratère né de la chute d’une météorite, d’où sa vitalité hors du commun. Le film trace le portrait de cette femme déterminée, à l’image d’un pays qui s’est créé dans la démesure. Grand amour de Pierre Perrault, qui délaissera tout pour vivre à ses côtés, elle sera la complice du cinéaste. Le documentaire témoigne de l’influence de cette rêveuse insatiable et de sa contribution à l’édification de notre mémoire collective. Dans un flot d’images et de mots, Yolande Simard Perrault raconte les splendeurs du paysage et les êtres qui l’ont façonné. Généreuse et infinie, sa quête identitaire nourrit et prolonge encore aujourd’hui l’œuvre de celui qui aura donné un souffle nouveau à notre cinématographie.
  • Hommage à Michel Brault
    Hommage à Michel Brault
    Alexandre Chartrand 2014 10 min
    Ce court métrage documentaire rend hommage au cinéaste Michel Brault, pionnier du cinéma direct et l’un des fondateurs du cinéma québécois. Il met en valeur son œuvre cinématographique avec des moments marquants de sa carrière et des extraits de ses films, tels que Pour la suite du monde, La lutte et Les raquetteurs
  • Le jardin oublié - La vie et l'oeuvre d'Alice Guy-Blaché
    Le jardin oublié - La vie et l'oeuvre d'Alice Guy-Blaché
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    Marquise Lepage 1995 52 min
    Un long métrage documentaire qui réhabilite la mémoire de la première réalisatrice de l’histoire du cinéma, morte oubliée de tous, au New Jersey, en 1968, à l'âge de 95 ans. Le film reconstitue l'univers de cette femme remarquable grâce à des entrevues réalisées par les télévisions européennes autour des années 1960, des extraits de ses films, des archives familiales, des témoignages de personnes qui l'ont connue, d'universitaires et d'historiens du cinéma.
  • Jutra
    Jutra
    Marie-Josée Saint-Pierre 2014 13 min
    Reposant sur un habile assemblage d’archives et de séquences animées, ce court métrage d'animation est un portrait ingénieux du grand cinéaste québécois Claude Jutra, réalisateur de Mon oncle Antoine ainsi qu’interprète et coréalisateur, avec Norman McLaren, d’Il était une chaise.
  • Léonard Forest, cinéaste et poète
    Léonard Forest, cinéaste et poète
    Rodolphe Caron 2006 52 min
    Portrait documentaire sur Léonard Forest. Il nous parle de ses films, de poésie, de ses aspirations, de ses rêves. Acadien au parcours important pour les francophones, cet artiste a façonné le Programme français de l'ONF. Donnant la parole à ses compatriotes acadiens, sa pratique l'a amené vers un cinéma de questionnement. Inspiré par l'œuvre de Léonard Forest, le cinéaste acadien Rodolphe Caron lui donne la parole.
  • Labrecque, une caméra pour la mémoire
    Labrecque, une caméra pour la mémoire
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    Michel La Veaux 2017 1 h 33 min
    Homme de lumière, Michel La Veaux (Hôtel La Louisiane) a voulu partager son amour du septième art avec l’un des pionniers du cinéma québécois, Jean-Claude Labrecque (À hauteur d’homme). Entre l’hommage respectueux, le portrait chaleureux et le sincère devoir de mémoire, Labrecque, une caméra pour la mémoire prend la forme d’une conversation placée sous le sceau de la communion.
  • Mai en décembre (Godard en Abitibi)
    Mai en décembre (Godard en Abitibi)
    Julie Perron 2000 25 min
    Ce court métrage documentaire raconte le passage du cinéaste Jean-Luc Godard à Rouyn-Noranda, en décembre 1968. Quelques mois plus tôt, en mai 1968, la France est secouée par des manifestations populaires et une poignée de cinéastes en colère interrompt le Festival de Cannes. Au Québec, la montée du nationalisme conduit à des affrontements au cours des festivités du 24 juin. C'est dans ce contexte que l'on organise « Les dix jours du cinéma politique » au Cinéma Verdi, à Montréal, qui accueille Jean-Luc Godard, auréolé du succès de ses films À bout de souffle (1959) et Pierrot le fou (1965). Loin de s'en tenir à des rencontres avec ses admirateurs, le cinéaste caresse un projet. Accompagné d’une équipe de cinéastes français et canadiens, il ira à Rouyn-Noranda, où la télévision lui donne carte blanche, et y fera la révolution...

    Ce film est issu de la série Libres courts, qui rassemble des premières œuvres courts métrages documentaires.
  • Les négatifs de McLaren
    Les négatifs de McLaren
    Marie-Josée Saint-Pierre 2006 10 min
    En utilisant les archives sonores du légendaire animateur canadien, Norman McLaren, ce court métrage d’animation recrée un portrait unique de l'artiste. Plongé dans l'univers intime du processus de création filmique, cet essai visuel nous entraîne dans les confidences inédites de McLaren et de sa vision bien personnelle du cinéma, image par image. Ce film a été produit avec l'aide du programme ACIC de l'ONF.