L’ONF s’engage à respecter votre vie privée

Nous utilisons des témoins de navigation afin d’assurer le bon fonctionnement du site, ainsi qu’à des fins publicitaires.

Si vous ne souhaitez pas que vos informations soient utilisées de cette manière, vous pouvez modifier les paramètres de votre navigateur avant de poursuivre votre visite.

En savoir plus
PASSER Accessibilité
  • Amisk
    Amisk
    Alanis Obomsawin 2023 40 min
    En 1973, le Festival de la Baie James se déroule pendant neuf jours à Montréal. Cet événement historique unique en son genre a eu lieu en soutien aux Cris de la Baie James dont le territoire, les ressources et la culture étaient menacés par l'expansion des barrages hydroélectriques. Des artistes des Premières Nations, métis et inuits sont venus de toute l'Amérique du Nord pour montrer leur soutien dans un acte d'unité et de solidarité autochtones que peu de gens à Montréal avaient jamais vu. Les premières performances rarement vues des artistes autochtones légendaires Gordon Tootoosis, Tom Jackson, Duke Redbird, Willie Dunn et la réalisatrice Alanis Obomsawin elle-même sont entrecoupées de témoignages de membres des Cris de la Baie James. Leurs histoires révèlent des expériences de première main des impacts négatifs de l'expansion capitaliste sur les terres cries.
  • Club Native
    Club Native
    Tracey Deer 2008 1 h 18 min
    À la réserve mohawk de Kahnawake, située en banlieue de Montréal, au Canada, deux règles tacites sont profondément inculquées à tous les membres de la communauté : ne pas épouser une personne de race blanche et ne pas avoir d'enfant avec une personne de race blanche. Les conséquences possibles de la transgression de ces règles sont très claires - perte d'appartenance à la bande pour le parent et son enfant - et extrêmement dramatiques pour ceux et celles qui les subissent. Enfreindre ces règles, c'est aussi risquer de se faire accoler l'étiquette de traître à la nation mohawk pour avoir dilué la «pureté» de la lignée.

  • Ceux qui attendent
    Ceux qui attendent
    Herménégilde Chiasson 2002 52 min
    Automne de 1999. Fidèles alliés durant des siècles, Acadiens et Mi'kmaq s'affrontent pour la première fois à Burnt Church, une réserve autochtone du Nouveau-Brunswick, dans ce que l'on a appelé la «guerre du homard». Un face à face historique dont la mer est l'enjeu. En vertu de traités conclus avec la Couronne britannique en 1760 et 1761, les Mi'kmaq réclament le droit à une pêche au homard illimitée. Les Blancs entendent tout mettre en oeuvre pour protéger la ressource. Burnt Church, comme Oka, devient ainsi l'un des hauts lieux des revendications autochtones. Au-delà des arguments qui motivent les positions de part et d'autre, ce documentaire nous fait connaître ceux et celles qui vivent ce drame au quotidien, dans ce qui les unit comme dans ce qui les sépare.
  • Coiffe de hipster
    Coiffe de hipster
    Amanda Strong 2017 40 s
    NE LE FAIS PAS, C’EST TOUT. Contestation de l’appropriation culturelle des coiffes autochtones.
  • L'histoire de Manawan - Première partie
    L'histoire de Manawan - Première partie
    Alanis Obomsawin 1972 20 min
    « Ce n’est pas comme autrefois. » Ces mots de César Néwashish résonnent tout au long de ce court métrage qui explore l’histoire de la communauté attikamek de Manawan. Son nom date de moins d’un siècle, mais Manawan incarne ce qu’ont vécu de nombreuses communautés autochtones du Canada. Alors qu’ils suivaient librement leurs coutumes sur un vaste territoire, ces Attikameks ont fini par être confinés dans la réserve de Manawan par les Européens, qui ont aussi restreint leurs pratiques culturelles. Ce court métrage fait partie de la série Manawan réalisée par Alanis Obomsawin.
  • L'histoire de Manawan - Deuxième partie
    L'histoire de Manawan - Deuxième partie
    Alanis Obomsawin 1972 21 min
    L’aîné attikamek César Néwashish poursuit l’histoire de la communauté de Manawan entamée dans L’histoire de Manawan : Première partie. Tandis que les traditions chrétiennes et européennes s’enracinent de plus en plus dans la communauté – soutenues en cela par les pensionnats indiens et les politiques d’assimilation radicales du gouvernement – des changements de culture selon toute apparence irréversible commencent à se produire. Malgré ces difficultés, la communauté continue d’aller de l’avant. Ce court métrage fait partie de la série Manawan réalisée par Alanis Obomsawin.
  • Kanehsatake, 270 ans de résistance
    Kanehsatake, 270 ans de résistance
    Alanis Obomsawin 1993 1 h 59 min
    En juillet 1990, un litige autour d'un terrain de golf qui serait construit sur des terres kanien'kéhaka (mohawks) à Oka ouvrait la voie à une confrontation historique qui ferait les manchettes internationales et s'imprimerait dans la conscience collective du pays. La réalisatrice Alanis Obomsawin – tantôt avec une petit équipe, tantôt seule – a passé 78 jours derrière les barricades kanien'kéhaka pour filmer l'affrontement armé entre les manifestants, la Sûreté du Québec et l'armée canadienne. Sorti en 1993, ce documentaire phare a été vu dans le monde entier, remportant plus d'une douzaine de prix internationaux et entrant dans l'histoire du Festival international du film de Toronto, où il est devenu le premier documentaire à remporter le prix du meilleur long métrage canadien. Jesse Wente, directeur du Bureau des productions audiovisuelles autochtones, en parle comme d'un « moment charnière dans l'histoire du cinéma des Premiers Peuples ».
  • Mémoire indienne
    Mémoire indienne
    Michel Régnier 1967 18 min
    Ce court métrage documentaire présente le Pavillon indien de l'Expo 67 de Montréal. Reflétant l'histoire et la mythologie des communautés autochtones du Canada, ce pavillon porte le sceau de leurs revendications. Aillant comme guide une jeune Autochtone, le film débute avec la visite d'une réserve dans les Rocheuses, avant de nous amener ensuite au cœur de l'exposition, à Montréal.
  • Mobiliser
    Mobiliser
    Caroline Monnet 2015 3 min
    Réalisé dans le cadre de la série « Souvenir », le court métrage Mobiliser de Caroline Monnet se sert des archives de l’ONF pour proposer un exaltant voyage qui nous emmène du Grand-Nord jusqu’au Sud urbain. L’œuvre fait ressortir la tension entre les modes de vie traditionnel et moderne que vivent les Premières Nations.
  • Nimmikaage (Elle danse pour son peuple)
    Nimmikaage (Elle danse pour son peuple)
    Nous sommes désolés, ce contenu n’est pas offert dans votre région.
    Michelle Latimer 2015 3 min
    Le court métrage Nimmikaage (Elle danse pour son peuple) de Michelle Latimer est un requiem pour les femmes autochtones du Canada. Le film déconstruit couche par couche l’affectation attestée du nationalisme canadien.
  • Les Riverains de la Skeena
    Les Riverains de la Skeena
    1949 15 min
    Les Autochtones du Nord de la Colombie-Britannique résistent de moins en moins à la modernité. Dans les tribus Gitksan et Tsimshian, il y a toujours les totems, les vieux cimetières pleins de souvenirs, l'artisanat encore vivant dans les limites de la réserve. Mais il y a aussi des centres où les enfants mènent la vie de tous les autres petits Canadiens, où tourne un moulin moderne, où les femmes se marient en robe blanche dans un nuage de confettis! Ce document nous permet d'assister en outre au spectaculaire rodéo de Kispiox.
  • Le soleil perdu
    Le soleil perdu
    Colin Low 1961 29 min
    Tourné dans les plaines d'Alberta, ce court métrage documentaire montre pour la première fois la Danse du Soleil. Véritable document ethnologique, il raconte par la bouche de Pete-qui-va-tout-seul, jeune Indien qui appartient au pétrole et aux superstructures d'acier, le drame d'une civilisation qui meurt.
  • La survie de nos enfants
    La survie de nos enfants
    Alanis Obomsawin 2003 1 h 36 min
    Dans ce long métrage documentaire, la cinéaste et artiste autochtone Alanis Obomsawin démontre la détermination et la ténacité du peuple mi'gmaq de Listuguj qui désire gérer lui-même les ressources naturelles de son territoire traditionnel. La survie de nos enfants offre une perspective contemporaine sur la lutte que poursuit le peuple mi'gmaq et sur sa victoire définitive, dont le point culminant est le « Prix pour la rivière la mieux gérée » accordé à la communauté par le gouvernement même qui refusait de reconnaître ses droits traditionnels.
  • The Ballad of Crowfoot
    The Ballad of Crowfoot
    Willie Dunn 1968 10 min
    Paru en 1968 et souvent considéré comme le premier vidéoclip créé au Canada, The Ballad of Crowfoot a été réalisé par Willie Dunn, un chanteur folk et militant d’origine mi’kmaq-écossaise membre de la première équipe de production entièrement autochtone de l’ONF, la mémorable Indian Film Crew. Le film jette un regard acéré sur les trahisons coloniales, qu’illustrent un montage saisissant d’images d’archives et une ballade composée par le cinéaste lui-même sur le légendaire chef siksika (pied-noir) qui, au 19e siècle, a négocié le Traité no 7 au nom de la Confédération des Pieds-Noirs. Cette production qui marque les débuts de l’Indian Film Crew est aussi la première à avoir été réalisée par des Autochtones à l’ONF.